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24 mars 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
Les conférenciers ont mis l’accent sur le traitement sexospécifique des parlementaires et autres personnalités publiques en ligne, rappelant que les femmes sont davantage victimes de mauvais traitements et de comportements agressifs. Comme l’ont indiqué plusieurs d’entre eux, le harcèlement en ligne, en plus d’avoir des répercussions négatives sur les vies des personnes visées, compromet la démocratie et entrave la liberté d’expression en dissuadant les filles et les femmes de jouer un rôle actif en politique.
L’honorable Dre Hedy Fry, C.P., députée s’est jointe à un groupe de parlementaires qui ont échangé sur leur expérience avec le harcèlement en ligne et qui ont partagé leur opinion sur le sujet. Dans son allocution, Dre Fry a indiqué que la pandémie de COVID-19 avait exacerbé la tendance grandissante envers le harcèlement et la violence sexospécifiques et elle a parlé des mesures mises en œuvre par le Canada pour s’attaquer au problème, tant à l’échelle nationale que sur la scène internationale. L’honorable sénatrice Donna Dasko a assisté à l’événement au nom du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU).
23 mars 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
Mme McPherson était l’une des intervenantes de la réunion. Dans le cadre de son allocution, elle a fait remarquer que le Canada avait fait des progrès vers l’accroissement de la participation politique des femmes, tout particulièrement en ce qui concerne l’atteinte d’une masse critique de femmes parlementaires à la Chambre des communes (29,5 %) et la parité des genres au Sénat (49,5 %). Elle a également mis de l’avant le nombre croissant de femmes occupant des postes de direction dans le domaine public, en soulignant la nomination de la première femme au poste de ministre des Finances, ainsi que le rôle prédominant joué par les administratrices en chef de la santé publique afin de guider la réponse du Canada à l’égard de la pandémie de COVID-19. Elle a réaffirmé l’importance d’améliorer la diversité de la représentation féminine en augmentant les occasions et expériences politiques offertes aux femmes racisées, autochtones et handicapées, ainsi qu’aux jeunes femmes, tout particulièrement au sein des partis politiques. Elle a également insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures législatives et de politique publique en matière de soutien financier, d’accès aux services de garde et de prévention du harcèlement en ligne pour les femmes de la sphère politique, et ce, en vue d’abattre les barrières qui dissuadent les femmes d’envisager une carrière politique. Mme McPherson a souligné le rôle joué par le Canada à l’égard du soutien des femmes à travers le monde par l’intermédiaire de sa Politique d’aide internationale féministe, mais a également signalé que les contributions canadiennes visant l’aide au développement étaient en déclin.
La sénatrice McPhedran a interrogé les participants à l’événement quant à leurs pratiques exemplaires au sujet de la réglementation ou de la législation en place ou en cours de développement visant à lutter contre le harcèlement à l’égard des femmes dans la sphère politique, tout particulièrement en ce qui concerne les répercussions de ces expériences sur leur famille et leur choix de carrière. Mme Vignola, quant à elle, a rappelé le rôle de l’éducation dans le renforcement des compétences et de la confiance en soi des jeunes filles et garçons en vue de favoriser leur ouverture et leur intérêt envers des carrières politiques.
Les interventions des femmes parlementaires des régions africaines, arabes et européennes et des régions de l’Asie-Pacifique et de l’Amérique latine ont permis d’aborder d’autres aspects du thème de la réunion. Parmi les autres sujets traités, les participants ont discuté de la façon dont la COVID 19 a freiné le progrès de la participation politique des femmes et de l’égalité des genres, ainsi que la manière dont elle favorise le changement en mettant en lumière l’importance d’inclure les femmes dans la prise de décisions et de mesures d’intervention en cas de pandémie. Plusieurs participants ont également souligné l’importance des données pour le suivi des progrès à l’égard de la participation politique des femmes et ils ont évoqué le rapport annuel de l’UIP intitulé Les femmes au parlement en 2020 : Regard sur l’année écoulée, ainsi que la carte Les femmes en politique : 2021, produite conjointement par l’UIP et ONU Femmes, en vue de documenter le classement des pays du monde par rapport à ce sujet.
Les discussions tenues dans le cadre de la Réunion parlementaire annuelle ont été prises en compte dans les délibérations de la CSW65 et serviront à la prise de décisions dans le cadre de la 142e assemblée de l’UIP (mai 2021), qui sera axée sur la lutte contre la pandémie et la relance post COVID. L’UIP et ONU Femmes poursuivront leurs délibérations dans le cadre d’une série de dialogues interparlementaires stratégiques organisés conjointement qui se tiendront virtuellement à différentes dates en avril, sur le thème de la « reprise post COVID 19 respectueuse de l’égalité des sexes. »
22 mars 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
9 mars 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
17 - 18 février 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
Le président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Volkan Bozkir, et le président de l’UIP, Duarte Pacheco, ont chacun prononcé un discours. Quant au secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, il s’est adressé aux participants par l’entremise d’une vidéo. Le discours principal, qui s’intitulait How corruption undermines democracy and development: the need for parliamentary engagement [les effets délétères de la corruption sur la démocratie et le développement : les parlementaires doivent agir], a été prononcé par la présidente du conseil d’administration de Transparency International, Delia Ferreira Rubio.
Dans le cadre d’une discussion sur les politiques de lutte contre la corruption tenant compte des questions de genre, la sénatrice McPhedran a informé l’auditoire que le Sénat du Canada est désormais paritaire. Elle a aussi vanté les aspects de la stratégie de lutte contre la pandémie de COVID 19 du gouvernement du Canada qui favorisaient le plus l’égalité entre les sexes, en plus de demander aux panélistes si l’instauration de quotas quant au nombre de femmes députées pouvait contribuer à lutter contre la corruption. Dans le cadre d’une discussion sur les principales mesures de lutte contre la corruption, la sénatrice Ataullahjan a demandé aux panélistes ce que l’on pourrait faire pour que ces mesures contribuent de manière plus efficace à faire appliquer la loi, tandis que M. McGuinty a parlé de l’efficacité des sanctions ciblées contre les dirigeants étrangers corrompus et donné en exemple la Loi de Magnitski, adoptée par le Canada.
15 février 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
Le Groupe des Douze Plus est un collectif de 47 États membres de l’UIP qui se réunissent pour discuter de questions clés et coordonner leur action concernant les affaires de l’UIP.
8 février 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
22 janvier 2021
Par vidéoconférence
Groupe canadien de l'Union interparlementaire (UIPU)
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