Les 20 et 21 novembre 2008, le
sénateur William Moore et l’honorable Wayne Easter, c.p., député,
vice-présidents de la section canadienne du Groupe interparlementaire (GIP)
Canada-États-Unis, ont assisté au Forum sur le leadership économique de la Pacific
NorthWest Economic Region (PNWER) à Whistler, en Colombie-Britannique.
Le GIP est depuis longtemps associé à
la PNWER et assiste habituellement à ces réunions d’automne et d’été. La PNWER
est un regroupement régional et bilatéral des secteurs privé et public établi
par voie législative qui comprend les États de l’Alaska, de l’Idaho, du
Montana, de Washington et de l’Oregon, la Colombie-Britannique, l’Alberta, la
Saskatchewan et le Territoire du Yukon. L’organisme vise les objectifs
suivants : accroître la collaboration régionale; augmenter la
compétitivité de la région sur les marchés nationaux et internationaux; tirer
parti de son influence régionale à Ottawa (Ontario) et à Washington, D.C.;
assurer la croissance économique de la région tout en protégeant son milieu
naturel.
Le Canada et les cinq États du
nord-ouest qui font partie de la PNWER sont unis par des liens avantageux de
part et d’autre. Selon des données récentes, près de 319 000 emplois
dans ces États dépendent du commerce entre les deux pays. La valeur du commerce
bilatéral entre le Canada et ces États du nord-ouest a été évaluée tout
récemment à près de 35 milliards de dollars : presque
10,9 milliards de dollars en exportations des cinq États vers le Canada,
et un peu plus de 24 milliards de dollars en importations aux États-Unis.
Les visites entre les deux pays sont également fréquentes. Selon des données
récentes, les Canadiens ont effectué près de 3,3 millions de visites dans
ces cinq États et y ont dépensé quelques 809 millions de dollars, tandis
que les résidents de ces États ont effectué plus de 1,8 million de visites
au Canada et ont dépensé environ 664 millions de dollars.
Étant donné les sujets de préoccupation
de la PNWER, les membres du GIP qui assistent aux réunions ont une excellente occasion
d’approfondir les problèmes vécus par les États et les provinces de même que
les entreprises dans les questions de nature bilatérales, et d’examiner aussi
les mesures et les initiatives prises par tous les ordres de gouvernement dans
les deux pays pour régler ces problèmes. En participant aux réunions de la
PNWER, les membres du GIP sont aussi à même d’informer les autres parties au
sujet des mesures prises par le GIP dans le but de réaliser des objectifs
bilatéraux communs, et au sujet des différences de position. Par conséquent, le
GIP entend poursuivre sa participation aux réunions d’automne et d’été de la
PNWER.
À la réunion, les exposés présentés en
plénière et au cours d’ateliers ont visé les sujets suivants :
·Sécurité publique mondiale et sécurité nationale
·Mesures du rendement à la frontière
·Stratégies axées sur le risque à la frontière
canado-américaine
·Stratégies positives à la frontière
·Jeux olympiques de 2010
·Mobilité de la main-d’œuvre
·Questions environnementales en
Colombie-Britannique
·Environnement et énergie
·Énergie marine
·Développement des entreprises
·Horizon énergétique
Les observations formulées par les
conférenciers à la plénière et aux ateliers sont résumées ci‑après.
Sécurité publique mondiale et
sécurité nationale
Tim Bloechl, Société Microsoft
·Le monde est un endroit dangereux.
·Les difficultés économiques ont une incidence
sur le niveau de danger : quand ça va mal, le taux de violence augmente.
·Quand on
dispose « d’information » on peut appliquer la technologie
d’information pour obtenir du « savoir ».
·Il est important de vérifier l’exactitude de
l’information.
·Il faut intégrer la sécurité aux systèmes et aux
autres réseaux.
·La Citizen Safety Architecture (architecture
pour la sécurité du citoyen) de Microsoft comprend divers éléments, dont :
§la protection des enfants au moyen de systèmes de suivi de
l’exploitation de l’enfance;
§une plateforme unifiée qui présentera les divers points de contrôle
frontaliers afin de donner une vue d’ensemble de la situation.
·Le nombre de catastrophes et leur incidence
économique augmentent, et il importe de voir quelles leçons peuvent être tirées
des réponses à chaque catastrophe.
Mesures du rendement à la frontière
Don Alper, Western Washington
University
·Lorsqu’on examine les façons d’évaluer la
situation à la frontière, il importe de penser à la fois aux éléments concrets,
comme le temps de traitement et d’attente, et aux éléments abstraits, comme la
coopération.
·Pour ce qui est des files d’attente, trois
volets sont à prendre en considération :
Ødensité du trafic – il est difficile d’influer sur la densité,
bien qu’il soit possible de la réduire au moyen d’une infrastructure mieux
adaptée;
Ønombre de guérites ouvertes – il est possible d’en modifier le
nombre, par exemple en augmentant l’effectif;
Ønombre de secondes par voiture – ce facteur est peut-être celui
des trois qui est le plus facile à contrôler.
·De nombreux facteurs influent sur la densité du
trafic, dont la conjoncture économique et le taux de change.
·Le rapport entre le nombre de guérites et la
densité du trafic varie d’un poste frontalier à l’autre.
·L’ouverture d’un plus grand nombre de voies
NEXUS raccourcirait les temps de traitement.
·Le taux d’utilisation des documents
d’identification par radiofréquence a une grande influence et il faudrait
l’accroître.
·Il est plus important de connaître la proportion
de véhicules qui attendent pendant un nombre donné de minutes en période de
pointe que de connaître le temps moyen d’attente, qui comprend les périodes
creuses.
Dave Davidson, Western Washington University
·Diverses solutions sont à étudier à l’égard des
trois volets contribuant aux files d’attente :
Ødensité de trafic – une campagne pour inciter les gens à
voyager autrement qu’en voiture pourrait avoir une incidence sur la densité;
Ønombre de guérites ouvertes – aligner les guérites de façon à
vérifier les documents d’identification à la première et à effectuer les
entrevues à la deuxième; veiller à ce que toutes les guérites soient ouvertes
et dotées de personnel aux heures de pointe; modifier la désignation des voies
(NEXUS ou ordinaires) au besoin afin de faciliter le passage au poste
frontalier;
Ønombre de secondes par voiture – la remise à l’avance des
listes des passagers d’autocars et le recours aux portiques de détection de
radiation et au lecteur de plaque minéralogique pourraient réduire les temps de
traitement.
Matt Morrison, Pacific NorthWest Economic Region
·La charte des frontières élaborée par la Pacific
Northwest Economic Region vise plusieurs objectifs :
Øassurer que le passage à la frontière soit une
expérience sûre, aisée et agréable;
Øréduire la congestion et rationaliser le
mouvement des entrepreneurs et des voyageurs légitimes aux postes frontaliers;
Øaccroître la sensibilisation et améliorer les
programmes à l’intention de ceux qui traversent souvent les frontières afin
d’améliorer la sécurité en concentrant l’attention sur le trafic à risque
relativement élevé.
·La valeur des échanges commerciaux entre le
Canada et les États-Unis a augmenté de 93 % depuis 1995.
·Avec le temps, le lien historique entre le taux
de change et les déplacements s’est atténué.
·À l’heure actuelle, on manque de données
facilement accessibles sur la capacité du service et les temps de traitement
aux postes frontaliers.
·Les documents d’identification par
radiofréquence accélèrent considérablement les passages à la frontière tout en
augmentant le niveau de sécurité.
·La frontière entre le Canada et les États-Unis
fait depuis longtemps l’objet d’une coopération bilatérale.
·Le Conseil de coordination des solutions à la
frontière vise les objectifs suivants :
Øassurer un apport continu de commentaires;
Øaider à ce que les deux pays prennent part à
l’établissement et à la mise en œuvre de la politique sur la sécurité
transfrontalière;
Øfaire le lien entre le gouvernement fédéral aux
États-Unis et au Canada.
·En ce qui concerne l’appel à l’action, il
importe notamment d’accroître la capacité du service afin de réduire le temps
d’attente à la frontière en période de pointe.
Steve Regan, Council
of Tourism Associations – C.-B.
·Lorsqu’il est question de frontière, il ne faut
pas oublier l’importance de la flexibilité; le système est complexe :
voitures, guérites, interaction humaine entre les voyageurs et les douaniers,
etc.
·Le temps, c’est de l’argent, et il faut des
données pour pouvoir prendre des décisions.
Ken Oplinger, Chambre de commerce et d’industrie de Bellingham-Whatcom
·Il faudrait des mesures incitatives afin
d’accroître les inscriptions au programme NEXUS,
·Le secteur privé devrait aider à trouver des solutions
aux questions de sécurité à la frontière.
·La sécurité ne doit pas damer le pion au
commerce.
·Le permis de conduire plus est un moyen utile de
faciliter le mouvement à la frontière.
Margaret Fearon, département de la Sécurité intérieure des États-Unis
·Le mandat du service des douanes et de la
protection frontalière, qui relève du département de la Sécurité intérieure,
reconnaît l’importance à la fois d’assurer la sécurité à la frontière et de
faciliter le commerce et la circulation des personnes et des biens.
·Pour ce qui est des Jeux olympiques d’hiver de
2010 qui se tiendront à Vancouver, en Colombie-Britannique, les renseignements
recueillis à l’achat de billets pourront servir à prévoir le volume de trafic
attendu chaque jour.
Kim Scoville, Agence des services frontaliers du Canada
·L’Agence des services frontaliers du Canada
assure des services frontaliers intégrés qui visent la sécurité nationale et la
sûreté du public tout en facilitant la libre circulation de personnes et de
biens légitimes.
·Il existe trois stratégies fondamentales:
Øprogrammes de préapprobation;
Øprestation préalable de renseignements et ciblage;
Øtransformation de l’information en renseignement.
·En ce qui concerne les Jeux olympiques d’hiver
de 2010 à Vancouver, en Colombie-Britannique, on espère qu’un recours maximal à
la technologie et aux partenariats efficaces facilitera les déplacements.
·L’objectif à l’égard de cette frontière commune
est d’assurer une gestion frontalière intégrée qui soit sûre, fluide et
efficace.
·On s’attend à ce que les temps d’attente ne
soient pas trop longs pour les personnes se rendant à Vancouver en vue des Jeux
olympiques de 2010, en raison des mesures suivantes : des postes
frontaliers fonctionnant à plein régime et dotés de ressources supplémentaires,
des voies réservées, une infrastructure améliorée, des affiches
supplémentaires, la promotion de programmes à l’intention des voyageurs à
faibles risques, la préautorisation par accréditation, etc.
Stratégies axées sur le risque à la
frontière canado-américaine
Ben Muller, Université Simon Fraser
·Une frontière canado-américaine ouverte est
importante pour des raisons d’ordre économique, mais aussi culturel.
·Il existait un large éventail de mesures de
sécurité avant les attaques terroristes du 11 septembre 2001.
·Depuis les attaques terroristes de 2001, on est
passé d’un régime d’examen à un régime de surveillance.
·Il convient d’évaluer l’incidence et la
fréquence des risques, et de les éviter dans la mesure du possible; s’il est
impossible de les éviter, il existe d’autres options :
Øtransférer les risques;
Øatténuer les risques;
Øaccepter les risques et mettre en œuvre des mesures pour les gérer.
· La sécurité est devenue un produit, et certains
tirent profit de l’importance accrue qu’on y accorde.
Solutions positives à la frontière
Eric Benjaminson, Ambassade des États-Unis à Ottawa
·La crise économique mondiale actuelle présente
des occasions qu’il ne faut pas rater.
·Même si le Canada présente des forces à
plusieurs égards – l’industrie énergétique, les institutions financières,
etc. – les événements aux États-Unis ont sur lui une grande incidence.
·La nature de la frontière ainsi que de la
coopération bilatérale varie tout au long du 49e parallèle, de
même que les besoins en infrastructure.
·Il est très difficile de réduire le niveau de
sécurité; de toute façon, les questions de sécurité sont là pour rester et de
nombreuses préoccupations à cet égard sont légitimes.
·Il est impossible de ramener le risque sous un
certain seuil.
·D’une certaine façon, le Canada et les
États-Unis sont membres d’une même « association de condos ».
·Le Canada devrait faire en sorte que sa loi sur
le droit d’auteur respecte les normes internationales.
·L’Accord de libre-échange nord-américain a été
fructueux tant pour le Canada que pour les États-Unis.
Mobilité de la main-d’œuvre
Neil Windsor, Association of Engineers, Geologists and Geophysicist of
Alberta
·Certains secteurs clés connaissent des pénuries
de main-d’œuvre, et la coopération bilatérale peut aider à les combler.
Joy Howland, Pacific NorthWest Economic Region
·Il faut s’attendre à ce que le départ à la
retraite de travailleurs qui doivent être remplacés augmente considérablement
la demande de main-d’œuvre; cette réalité obligera à mieux utiliser les
ressources humaines dans le nord-ouest de l’Amérique du Nord.
·Le vieillissement de la population dans le
nord-ouest de l’Amérique du Nord entraîne l’accroissement de la demande de
services, notamment les soins de santé, et certains des secteurs de service
font face à des pénuries de main-d’œuvre.
·Les exigences en matière de permis et les
processus peuvent nuire à la mobilité de la main-d’œuvre, particulièrement en
situation transfrontalière.
·Le nord-ouest de l’Amérique du Nord vit des
difficultés de dotation pour les grands projets d’infrastructure nécessaires
pour soutenir la croissance et la prospérité de la région; un besoin aigu de
travailleurs hautement qualifiés se fait sentir.
·Certains grands projets d’infrastructure créent
des augmentations temporaires de demandes de main-d’œuvre qu’un marché du
travail local ne peut pas toujours satisfaire ou soutenir; par conséquent, la
mobilité de la main-d’œuvre est importante afin que les employés puissent
exercer leur métier ou profession dans divers territoires, ce qui a des
conséquences pour les exigences de certification professionnelle.
Questions
environnementales en Colombie-Britannique
Honorable Barry Penner, gouvernement de la Colombie-Britannique
·Les « tempêtes » économiques et les
défis environnementaux traversent le 49e parallèle.
·Le Canada est un important fournisseur de
pétrole pour les États-Unis, mais il ne fixe pas le prix de cette ressource; le
prix du pétrole est plutôt fixé dans des parties du monde qui sont relativement
moins amicales.
·L’augmentation du prix du pétrole enregistrée
sur une période de trois mois en 2008 a surpassé l’augmentation des années
1970.
·Tous attribuent la crise économique mondiale à
la crise hypothécaire plutôt qu’à l’augmentation du prix du pétrole.
·Dans les situations où l’on dépend beaucoup du
pétrole et des autres combustibles fossiles, il faut diversifier les sources
d’énergie.
·Le changement climatique a des répercussions
très diverses; par exemple, les hivers froids qui ont limité les infestations
par le dendroctone du pin ont cédé la place à des hivers plus doux qui
favorisent sa propagation.
·La perte de forêts entraîne des pertes
d’emplois, la modification de l’hydrologie, une fonte des neiges plus rapide et
des accumulations de neige plus faibles qui donnent lieu à des sécheresses.
·Il faut de toute urgence modifier la part que
joue l’être humain dans le changement climatique; l’action coûtera cher, mais
le coût de l’inaction sera encore plus élevé.
·Les pays qui mettront au point des solutions
écologiques seront des fournisseurs de solutions pour le reste du monde.
·Quand le prix du pétrole a chuté après les
années 1970, nous avons relaxé notre vigilance; les efforts de conservation
diminuent quand le prix du pétrole est faible.
·Il faut de l’aide afin de commercialiser la
technologie.
·La collaboration régionale est importante; il
est possible de faire plus en travaillant ensemble qu’en travaillant
individuellement.
Énergie marine
Craig Collar, Snohomish Public Utility District
·L’État de Washington est doté d’une norme pour
le portefeuille de l’énergie renouvelable.
·Il faut adopter de nouvelles sources d’énergies
renouvelables.
·L’énergie éolienne reste importante, mais elle
est intermittente et peut être mal située, et présenter des problèmes de
transmission.
·L’énergie marémotrice est propre, renouvelable
et ne produit pas d’émission.
·L’énergie marémotrice est prévisible puisqu’elle
est tributaire du mouvement de la lune et du soleil, elle est située près des
agglomérations ce qui allège l’infrastructure nécessaire à la transmission et
elle contribue à la sécurité et à la fiabilité de l’énergie grâce à un
portefeuille d’énergie régionale plus diversifié.
·Points à prendre en considération en matière
d’énergie marémotrice :
Øles répercussions sur les poissons et les mammifères marins :
les pales peuvent les blesser ou les harceler;
Øl’incidence sur l’environnement local – le fonctionnement de la
turbine peut causer des problèmes acoustiques et le fonctionnement et
l’installation des turbines peuvent nuire au rétablissement des poissons;
Øl’incidence fluidique de l’extraction d’énergie – le
fonctionnement des turbines peut modifier la configuration de la sédimentation,
le débit des estuaires et l’amplitude des marées;
Øl’incidence écologique des effets fluidiques – il peut y avoir
un effet sur les écosystèmes dans les battures et sur la qualité de l’eau.
·Il faut des données pour évaluer les coûts et
les avantages des différentes options énergétiques.
·Un des objectifs importants des projets pilotes
est la collecte de données, notamment en ce qui concerne le rendement
technique, économique et environnemental.
·Lorsqu’on examine les options énergétiques, il
faut tenir compte des considérations sociales, environnementales et
écologiques.
·La variabilité d’échelle que présentent les
projets est un facteur important.
Chris Campbell, Ocean Renewable Energy
Group
·La baie de Fundy connaît d’importants débits
d’eau chaque jour.
·Les vagues, comme sources d’énergie, varient
beaucoup dans l’espace et dans le temps.
·Les sources d’énergie des vagues se situent tant
près des côtes qu’au large.
·Au Canada, il existe des ressources marémotrices
dans plusieurs régions :
Øl’île de Vancouver;
Øle nord de la côte du Pacifique;
Øles îles de la Reine-Charlotte;
Øl’Arctique;
Øle détroit d’Hudson;
Øl’Ungava;
Øle fleuve Saint-Laurent
Øle golfe du Saint-Laurent;
Øl’Atlantique Nord;
Øl’Atlantique Sud;
Øla baie de Fundy.
·Les sources marémotrices sont très prévisibles
et fiables.
·Des études s’imposent dans divers domaines,
notamment la modélisation des vagues et des marées.
·Le Royaume-Uni, les États-Unis, la Norvège, le
Danemark, l’Australie et le Canada sont d’importants créateurs de technologies
dans le domaine des marées.
·En ce qui concerne l’énergie des vagues et des
marées :
Øelle peut causer la perte d’habitats pour les mammifères en raison
du bruit, d’éventuels accidents et des champs et des vibrations
électromagnétiques;
Øles poissons et larves de poissons risquent de souffrir des effets
de la sédimentation ainsi que du bruit sous-marin, des vibrations et des champs
électromagnétiques;
Øla faune et le plancher océanique risquent de subir les changements
de la structure des sédiments;
Øles changements dans les courants et la sédimentation peuvent
modifier le littoral.
Développement des entreprises
Rohan Soulsby, British Columbia Transmission Corporation
·On constate un intérêt croissant pour
l’exploitation maximale des sources d’énergie renouvelables.
·Il faut que l’énergie soit disponible au moment
où les consommateurs la réclament.
·L’énergie renouvelable peut être relativement
coûteuse, bien que les coûts diminuent à mesure que la technologie avance.
·Il faut une plus grande coordination entre les
compétences responsables de l’octroi de permis et de la sélection de sites.
Respectueusement soumis,
L’hon. Jerahmiel Grafstein, sénateur
coprésident
Groupe interparlementaire
Canada-États-Unis
Gord
Brown, député
coprésident
Groupe interparlementaire
Canada-États-Unis