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Report

 

Vu mes nouvelles fonctions de président de la section canadienne et de représentant de la Région canadienne de l'Association parlementaire du Commonwealth, il était important pour moi de me rendre au siège de l’Association avant la tenue de la 52e Conférence de l’APC à Abuja (Nigéria).

Cette visite m'a donné l'occasion de me familiariser avec les nombreuses questions internationales qui interpellent l’APC et avec le fonctionnement du Secrétariat de l’Association.  Au cours des dernières années, la section canadienne a été bien représentée au sein du Comité exécutif international (CEI).  Comme j'avais pris peu de temps auparavant les deux nouvelles fonctions susmentionnées, je devais me renseigner rapidement et le mieux possible avant de commencer à exercer mes attributions de représentant régional et de président du Conseil régional canadien.  À la suite de consultations avec les membres du comité exécutif de la section canadienne, il a été convenu que je ferais un arrêt à Londres avant de me rendre à la 52e Conférence de l’Association.

À Londres, avant la réunion avec les représentants du Secrétariat de l’APC, j'ai rencontré le nouveau haut-commissaire du Canada au Royaume-Uni, M. James R. Wright, qui était entré en fonction le jour précédent.  Comme nous venions tous les deux de prendre un nouveau poste, les sujets de discussion n’ont pas manqué.

Au cours de mon passage dans cette ville, j'ai pu rencontrer Denis Marshall, le secrétaire général sortant de l’APC et plusieurs hauts représentants du Secrétariat.  M. Marshal m'a grandement aidé à comprendre dans le détail le fonctionnement de l’APC et de ses opérations financières et ce qui serait attendu de moi dans mes fonctions de représentant régional du CEI.

La section canadienne de l’APC verse chaque année une contribution substantielle au Secrétariat pour ses activités et c’est pourquoi j'ai fait savoir que nous tenions à avoir voix au chapitre au sein du sous-comité des finances du CEI.  Étant donné que j'ai exprimé le désir de jouer ce rôle au sein du CEI, il m'importait de connaître parfaitement la gestion financière de l'Association et ses nombreux projets et programmes bilatéraux et multilatéraux.  Mes rencontres avec Denis Marshall et avec le nouveau contrôleur des finances, M. Joe Oromodion, m'ont beaucoup aidé à comprendre les systèmes de gestion financière utilisés. J'ai pu le constater lors de ma première réunion avec les autres membres du CEI à la fin de la 52e Conférence de l’APC à Abuja.

Je ne saurais trop insister sur l'importance, pour les membres du CEI, de très bien connaître le système actuel de gestion financière des activités internationales de l’APC. L’Association éprouve déjà des difficultés à choisir des endroits pour les prochaines conférences en raison des

coûts liés à la tenue de cette activité annuelle. Comme le Canada a accueilli la 50e Conférence de l’APC et remis au secrétaire général un rapport détaillé proposant divers moyens de réduire les dépenses s’y rapportant, j'estimais indispensable qu'un Canadien siège au groupe de travail créé en vue d'étudier le problème. Les rencontres avec Denis Marshall et Niall Johnston ont été utiles pour formuler des recommandations concernant ce groupe de travail.

À Londres, j'ai eu l'occasion de rencontrer plusieurs membres de la section du Royaume‑Uni de l’APC avant notre départ pour Abuja.  Il a été très éclairant d'aborder des questions d'intérêt commun en rapport avec les orientations futures de l’APC et les activités de la section du Royaume-Uni en général. Le financement de la section du Royaume-Uni de l’Association est assuré par le ministère des Affaires étrangères de Grande-Bretagne et non par le Parlement britannique, ce qui comporte des avantages et des inconvénients en ce qui touche leur programme d'activités.

En qualité de secrétaire parlementaire du ministre de la Défense nationale, j'ai également eu l'occasion de rencontrer à Londres mes homologues du ministère de la Défense du Royaume-Uni afin de connaître les rapports que cette organisation entretient avec le Parlement.

Je me suis ensuite rendu à Abuja, au Nigéria, pour assister à la 52e Conférence de l’APC.  Un rapport sur les travaux de la Conférence sera présenté séparément à une date ultérieure.


J'aimerais en terminant remercier le personnel du Secrétariat de l’APC qui a pris le temps, pendant une période de grande activité, de me rencontrer et de répondre à mes nombreuses questions sur le fonctionnement du Secrétariat et de l’Association en général.

Respectueusement soumis,

Russ Hiebert, député
Président
Section Canadienne fédérale
de l’Association parlementaire
du Commonwealth (APC)

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