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Activités et rapports

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UIPU Groupe canadien de l'Union interparlementaire

La Réunion parlementaire annuelle à la 65e session de la Commission de la condition de la femme (CSW65) s’est tenue en mode virtuel le 23 mars 2021. Organisée conjointement par l’Union interparlementaire (UIP) et ONU Femmes, elle a réuni des législateurs de partout dans le monde, ainsi que des représentants d’organisations onusiennes et de groupes de la société civile pertinents, en vue de discuter du thème : « Que faudra-t-il faire pour atteindre la parité en politique dans le monde post COVID-19? ». Le Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) était représenté par les sénatrices Donna Dasko, Rosa Galvez et Marilou McPhedran, et les députées Iqra Khalid, Heather McPherson et Julie Vignola.

Mme McPherson était l’une des intervenantes de la réunion. Dans le cadre de son allocution, elle a fait remarquer que le Canada avait fait des progrès vers l’accroissement de la participation politique des femmes, tout particulièrement en ce qui concerne l’atteinte d’une masse critique de femmes parlementaires à la Chambre des communes (29,5 %) et la parité des genres au Sénat (49,5 %). Elle a également mis de l’avant le nombre croissant de femmes occupant des postes de direction dans le domaine public, en soulignant la nomination de la première femme au poste de ministre des Finances, ainsi que le rôle prédominant joué par les administratrices en chef de la santé publique afin de guider la réponse du Canada à l’égard de la pandémie de COVID-19. Elle a réaffirmé l’importance d’améliorer la diversité de la représentation féminine en augmentant les occasions et expériences politiques offertes aux femmes racisées, autochtones et handicapées, ainsi qu’aux jeunes femmes, tout particulièrement au sein des partis politiques. Elle a également insisté sur la nécessité de mettre en place des mesures législatives et de politique publique en matière de soutien financier, d’accès aux services de garde et de prévention du harcèlement en ligne pour les femmes de la sphère politique, et ce, en vue d’abattre les barrières qui dissuadent les femmes d’envisager une carrière politique. Mme McPherson a souligné le rôle joué par le Canada à l’égard du soutien des femmes à travers le monde par l’intermédiaire de sa Politique d’aide internationale féministe, mais a également signalé que les contributions canadiennes visant l’aide au développement étaient en déclin.

La sénatrice McPhedran a interrogé les participants à l’événement quant à leurs pratiques exemplaires au sujet de la réglementation ou de la législation en place ou en cours de développement visant à lutter contre le harcèlement à l’égard des femmes dans la sphère politique, tout particulièrement en ce qui concerne les répercussions de ces expériences sur leur famille et leur choix de carrière. Mme Vignola, quant à elle, a rappelé le rôle de l’éducation dans le renforcement des compétences et de la confiance en soi des jeunes filles et garçons en vue de favoriser leur ouverture et leur intérêt envers des carrières politiques.

Les interventions des femmes parlementaires des régions africaines, arabes et européennes et des régions de l’Asie-Pacifique et de l’Amérique latine ont permis d’aborder d’autres aspects du thème de la réunion. Parmi les autres sujets traités, les participants ont discuté de la façon dont la COVID 19 a freiné le progrès de la participation politique des femmes et de l’égalité des genres, ainsi que la manière dont elle favorise le changement en mettant en lumière l’importance d’inclure les femmes dans la prise de décisions et de mesures d’intervention en cas de pandémie. Plusieurs participants ont également souligné l’importance des données pour le suivi des progrès à l’égard de la participation politique des femmes et ils ont évoqué le rapport annuel de l’UIP intitulé Les femmes au parlement en 2020 : Regard sur l’année écoulée, ainsi que la carte Les femmes en politique : 2021, produite conjointement par l’UIP et ONU Femmes, en vue de documenter le classement des pays du monde par rapport à ce sujet.

Les discussions tenues dans le cadre de la Réunion parlementaire annuelle ont été prises en compte dans les délibérations de la CSW65 et serviront à la prise de décisions dans le cadre de la 142e assemblée de l’UIP (mai 2021), qui sera axée sur la lutte contre la pandémie et la relance post COVID. L’UIP et ONU Femmes poursuivront leurs délibérations dans le cadre d’une série de dialogues interparlementaires stratégiques organisés conjointement qui se tiendront virtuellement à différentes dates en avril, sur le thème de la « reprise post COVID 19 respectueuse de l’égalité des sexes. »

UIPU Groupe canadien de l'Union interparlementaire

L’honorable David McGuinty, C.P., député, président du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) et vice-président du Comité exécutif de l’Union interparlementaire (UIP) pour le groupe géopolitique des Douze Plus, a participé à la quatrième séance de la 285e session du Comité exécutif international, qui a eu lieu virtuellement le 22 mars 2021. Entre autres points de l’ordre du jour, les membres ont passé en revue les préparatifs de la 142e Assemblée de l’UIP qui se tiendra en ligne en mai et ont pris des décisions relatives à la révision de la stratégie de l’UIP pour 2022-2026.

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Le 9 mars 2021, l’honorable Salma Ataullahjan, sénatrice, a participé à la 45e réunion du Bureau des femmes parlementaires organisée par l’Union interparlementaire (UIP). Avec les membres représentant les Bureaux de Chypre, d’Arabie Saoudite, du Sénégal, de la Suède et de la Thaïlande, entre autres, ainsi que la présidente, Mme Susan Kihika (Kenya), elle a passé en revue les travaux récents et à venir de l’UIP sur l’égalité des sexes, y compris concernant la publication du rapport de l’UIP intitulé Les femmes au parlement : 2020 et son infographie. La sénatrice Ataullahjan en a profité pour souligner les progrès réalisés au sein des deux Chambres du Parlement du Canada, notamment l’atteinte de la parité homme-femme au Sénat. Elle a aussi fait le point sur les répercussions économiques et sociales de la pandémie de COVID-19 sur les Canadiennes en général, et sur les travailleuses de la santé, les réfugiées ainsi que les membres des collectivités autochtones et des communautés sous-représentées en particulier. Elle a également parlé de la campagne de vaccination. Les membres du Bureau ont en outre discuté de la possibilité d’adopter l’égalité des sexes comme thème lors de la 143e Assemblée de l’Union interparlementaire prévue en novembre 2021 au Rwanda — un thème inspiré des réalisations de l’hôte en matière de parité homme femme —, et la sénatrice Ataullahjan a souligné l’importance de parler des femmes marginalisées, racialisées et autochtones. Elle s’est également portée volontaire pour représenter le Bureau lors des rencontres virtuelles des différents organes de l’UIP dans le cadre de la 142e Assemblée qui aura lieu du 24 au 27 mai 2021. Par ailleurs, le Bureau tiendra des rencontres en ligne au cours des prochaines semaines afin de se préparer aux réunions virtuelles du Forum des femmes parlementaires de l’UIP de la 142e Assemblée.

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Les 17 et 18 février, la délégation du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) a pris part à l’audition parlementaire annuelle de l’Union interparlementaire (UIP) aux Nations unies. En format virtuel pour la toute première fois, l’audience de cette année avait pour thème « Lutter contre la corruption pour restaurer la confiance dans le gouvernement et améliorer les perspectives de développement ». La sénatrice Salma Ataullahjan, la sénatrice Marilou McPhedran, l’honorable député David McGuinty, c.p., la députée Marilène Gill, et la députée Stephanie Kusie figuraient parmi les participants.

Le président de l’Assemblée générale des Nations Unies, Volkan Bozkir, et le président de l’UIP, Duarte Pacheco, ont chacun prononcé un discours. Quant au secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, il s’est adressé aux participants par l’entremise d’une vidéo. Le discours principal, qui s’intitulait How corruption undermines democracy and development: the need for parliamentary engagement [les effets délétères de la corruption sur la démocratie et le développement : les parlementaires doivent agir], a été prononcé par la présidente du conseil d’administration de Transparency International, Delia Ferreira Rubio.

Dans le cadre d’une discussion sur les politiques de lutte contre la corruption tenant compte des questions de genre, la sénatrice McPhedran a informé l’auditoire que le Sénat du Canada est désormais paritaire. Elle a aussi vanté les aspects de la stratégie de lutte contre la pandémie de COVID 19 du gouvernement du Canada qui favorisaient le plus l’égalité entre les sexes, en plus de demander aux panélistes si l’instauration de quotas quant au nombre de femmes députées pouvait contribuer à lutter contre la corruption. Dans le cadre d’une discussion sur les principales mesures de lutte contre la corruption, la sénatrice Ataullahjan a demandé aux panélistes ce que l’on pourrait faire pour que ces mesures contribuent de manière plus efficace à faire appliquer la loi, tandis que M. McGuinty a parlé de l’efficacité des sanctions ciblées contre les dirigeants étrangers corrompus et donné en exemple la Loi de Magnitski, adoptée par le Canada.

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L’honorable David McGuinty, C.P., député, président du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) et vice-président du Comité exécutif de l’Union interparlementaire (UIP) pour le groupe géopolitique des Douze Plus, et Sven Spengemann, député, membre du bureau de la Commission de la démocratie et des droits de l’homme de l’UIP, ont été invités à une réunion virtuelle informelle du Comité directeur du Groupe des Douze Plus le 15 février 2021. Ils se sont joints aux autres délégués de Belgique, de France, de Roumanie, de Serbie, d’Espagne, de Suède, de Suisse, d’Ukraine et du Royaume-Uni qui siègent également aux quatre commissions permanentes de l’UIP. Arda Gerkens (Pays Bas) a présidé la réunion, la première depuis son élection à ce poste par les membres du Groupe des Douze Plus le 26 octobre 2020. Les participants ont été informés des développements lors des récentes réunions du Comité exécutif de l’UIP. Ils ont également abordé diverses questions administratives en prévision des futures réunions décisionnelles du groupe géopolitique.

Le Groupe des Douze Plus est un collectif de 47 États membres de l’UIP qui se réunissent pour discuter de questions clés et coordonner leur action concernant les affaires de l’UIP.

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L’honorable David McGuinty, C.P., député, président du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) et vice-président du Comité exécutif de l’Union interparlementaire (UIP) pour le groupe géopolitique des Douze Plus, a participé à la troisième séance de la 285e session du Comité exécutif international, qui a eu lieu virtuellement le 8 février 2021. Les membres ont poursuivi leur examen de la situation législative au Venezuela, ainsi que des développements récents au Myanmar. Ils ont également reçu une mise à jour concernant les efforts déployés pour parvenir à une adhésion universelle. Le Comité exécutif international a également approuvé diverses questions administratives pour recommandation au Conseil directeur à sa prochaine session.

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L’honorable David McGuinty, C.P., député, président du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU) et vice-président du Comité exécutif de l’Union interparlementaire (UIP) pour le groupe géopolitique des Douze Plus, a participé à la deuxième séance de la 285e session du Comité exécutif international, qui a eu lieu virtuellement le 22 janvier 2021. Les membres ont convenu d’une feuille de route pour mettre au point la stratégie 2022-2026 de l’organisation ainsi que le calendrier des activités pour 2021, tout en soulignant l’importance de la flexibilité et d’une meilleure prise en compte de la possibilité d’organiser des événements hybrides. Les membres ont également tenu des discussions préliminaires sur la situation législative au Venezuela, et poursuivront leur examen de cette question à la prochaine réunion du Comité exécutif international.

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Le 20 janvier 2021, l'Union interparlementaire (UIP) a organisé un webinaire intitulé « Conseil de sécurité : une réforme qui se fait attendre », le troisième d'une série de séances d'information à l'intention des parlementaires sur les processus des Nations Unies. L'événement a rassemblé environ 120 participants de plus de 40 pays, dont huit membres du Groupe canadien de l’Union interparlementaire (UIPU): le sénateur Rob Black, la sénatrice Patti LaBoucane-Benson, la sénatrice Marilou McPhedran, la sénatrice Kate Pate, le sénateur Mohamed-Iqbal Ravalia, la sénatrice Raymonde Saint-Germain, Mme Iqra Khalid, députée et M. Sameer Zuberi, député. La séance d’information a débutée par des résumés de trois propositions de réforme du Conseil de sécurité des Nations Unies présentées par un représentant de chaque groupe proposant: l'Italie au nom du groupe Unir pour le consensus (auquel le Canada appartient); l'Inde du groupe G4 comprenant également le Brésil, le Japon et l'Allemagne; et le Consensus d'Ezulwini au nom du groupe africain. La session a mis en évidence des points de convergence, tel que l’accord général selon lequel le nombre de membres du Conseil de sécurité devrait être augmenté afin d’améliorer la représentation des régions sous-représentées. Les participants ont également entendu des opinions divergentes sur l'élargissement des catégories de membres (par exemple, les sièges à plus long terme), l'augmentation du nombre de membres permanents, ainsi que l'extension du droit de veto et la limitation de son application.