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C O M M U N I Q U É

POUR PUBLICATION IMMÉDIATE

Le 12 mai 2010

La Section canadienne du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis rencontre son pendant américain

Du 7 au 10 mai 2010, la sénatrice Janis Johnson, coprésidente, et le député Gord Brown, coprésident, ont dirigé une délégation de sénateurs et de députés (voir la liste ci-jointe) à la 51e Réunion annuelle du Groupe interparlementaire Canada États-Unis qui s’est tenue à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane.

« À chaque réunion annuelle – et la 51e Réunion annuelle ne fait pas exception –, les membres de la délégation canadienne profitent de l’occasion pour rencontrer leurs homologues américains et engager un dialogue franc et constructif sur les questions qui font l’objet d’un consensus, les points litigieux et les moyens de collaborer à notre avantage commun », a indiqué la sénatrice Johnson.

« Au cours de nos rencontres, nous avons discuté de diverses questions qui sont cruciales pour la prospérité de nos pays et le niveau de vie de nos citoyens, mais aussi d’enjeux importants d’un point de vue international », a poursuivi M. Brown. « Sur le plan économique et commercial, nous avons examiné les modifications prévues à la Loi sur le droit d’auteur du Canada, la réforme des systèmes financiers dans la foulée de la crise économique et financière dans le monde et la nécessité d’assurer la circulation efficace des personnes et des biens légitimes de part et d’autre de notre frontière commune. »

« Nos discussions sur les questions internationales ont porté notamment sur l’environnement, la souveraineté et d’autres enjeux de l’Arctique, la mission internationale en Afghanistan et la nécessité de continuer à mettre l’accent sur la non-prolifération des armes nucléaires et le désarmement. Concernant les questions environnementales transfrontalières, il a été question de la menace que présente la carpe asiatique et des efforts pour atténuer sa propagation, des avantages de l’harmonisation bilatérale de la réglementation sur les changements climatiques et de l’accès au marché de l’énergie des États-Unis, et plus particulièrement des sables bitumineux de l’Alberta et de l’hydroélectricité en tant que ressource renouvelable. Ces questions ont manifestement une importance nationale, binationale et, dans certains cas, internationale », a fait observer la sénatrice Johnson.

En plus d’avoir des discussions de fond sur un large éventail de questions bilatérales et multilatérales, les délégués ont été informés sur la fuite de pétrole dans le golfe du Mexique et sur les efforts déployés pour protéger la Nouvelle-Orléans contre les phénomènes météorologiques.

« Nous avons été particulièrement intéressés par l’information détaillée et presque en direct sur la fuite de pétrole dans le golfe du Mexique », a précisé M. Brown. « En un sens, l’assemblée s’est tenue à un endroit névralgique et, compte tenu de l’intérêt pour le forage en mer tant sur la côte est que sur la côte ouest du Canada et du fait qu’en raison des courants la fuite pourrait toucher notre pays, les Canadiens se sont grandement intéressés à tout ce qui concerne la fuite. »

« De plus, les délégués ont pu obtenir une information de première main sur les efforts que déploie actuellement le US Army Corps of Engineers pour protéger la Nouvelle-Orléans en construisant et en renforçant des digues, des levées et des systèmes de canaux », a ajouté la sénatrice Johnson. « Il est certain que les désastres météorologiques de tout genre et les mesures prises pour maîtriser la situation et protéger la population sont des questions sur lesquelles nous devons échanger nos pratiques exemplaires. C’était encourageant de voir les efforts pour protéger la ville et ses habitants. »

« Nos rencontres ont été extrêmement productives, et nous sommes impatients d’avoir d’autres réunions constructives à Terre-Neuve-et-Labrador l’année prochaine. Bien sûr, nous engagerons un dialogue suivi avec nos homologues américains à mesure que surgiront des questions prioritaires, et nous espérons effectuer des visites au Congrès au début de l’année prochaine », a dit M. Brown en terminant.

Il faut préciser que les points de vue exprimés dans le présent communiqué sont ceux de la Section canadienne du Groupe interparlementaire Canada-États-Unis et qu’ils ne reflètent donc pas nécessairement ceux de nos homologues américains.

Le Groupe interparlementaire Canada-États-Unis vise à trouver les points de convergence dans les politiques nationales des deux pays, à instaurer un dialogue sur les points de divergence, à favoriser les échanges d’information et à promouvoir une meilleure compréhension entre les législateurs sur des questions d’intérêt commun. Pour en savoir plus sur le Groupe, il suffit de visiter

http://www2.parl.gc.ca/iia/Association.aspx?Lang=F&DCId=4&DTId=6&P=overview&ORGId=1383.

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Renseignements :
L’hon. Janis Johnson, sénatrice, coprésidente, Groupe interparlementaire
Canada‑États-Unis, 613-943-1430

M. Gord Brown, député, coprésident, Groupe interparlementaire
Canada‑États‑Unis, 613-992-8756

M. Chad Mariage, secrétaire exécutif, Groupe interparlementaire
Canada‑États‑Unis, 613-944-4238

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